ForOM

c pas moi qui suis choqué.
Sinon, je vois que tu,es pour la réinsertion. Tant mieux. Que baup paye sa dette envers la société, et on n´ en parlera plus alors...

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Welcome de Zerbi!!!

Baup, où en est votre mise en examen ?
Ce sont des faits antérieurs à ma venue. Dans cette affaire, il n’y a pas d’intention de nuire et je suis prêt à rembourser. J’ai fait confiance à des conseillers mais j assume et j’irai jusqu’au bout de ce que l’on me demande pour rembourser. Est-ce que cela peut nuire à mon image ? Je ne crois pas. J’ai toujours continué à être sur le devant de la scène avec Canal+ et mes employeurs connaissent la situation.

Comment jugez-vous votre équipe ?
Je reste dans les idées que j’émets depuis le début. Il faut avoir un maximum de qualités dans l’utilisation du ballon et simplifier certaines situations. Il faut être plus efficace et après avoir beaucoup de spontanéité et de réactivité à la perte du ballon. Il faut qu’on soit une équipe. Il y a des joueurs de qualité et il faut qu’ils soient des joueurs d’équipe. Ce n’est pas en mettant une somme de joueurs de qualité qu’on fait une équipe. Si vous arrivez à avoir cette dimension d’équipe, vous pouvez espérer. C’est comme ça que les résultats se font.

Aujourd’hui, votre groupe est-il compétitif ?
On essaye de mettre à niveau tout le monde. Je pense que depuis Evian, même s’il y a encore des disparités dans l’état de forme, tout le monde travaille ensemble, sauf Alou Diarra. On n’est pas encore tout à fait prêt collectivement. Je veux travailler la dimension collective de l’équipe. Je pense qu’il y a encore besoin de quelques séances et de quelques réglages.

A qui pensez-vous en cas de départ de Stéphane Mbia ?
S’il y a un départ, il faudra compenser par la venue de quelqu’un. Si on a un défenseur central qui a un bon jeu de tête, qui va vite, qui fait des relances pas très longues et de qualité, ça sera quelqu’un de potentiellement très intéressant. José Anigo et la cellule de recrutement travaillent sur toutes les possibilités.
« Valbuena sera dans le groupe »

Avez-vous des exigences ?
Non. Quand j’ai pris le groupe, on a beaucoup parlé avec la direction. Je dois faire avec l’intégration de très jeunes joueurs. Ils ne vont pas devenir des joueurs de L1 du jour au lendemain. Je veux être dans le club et je ne dois pas avoir des aspirations personnelles donc je m’implique à fond dans ce mode collectif. Je suis entraîneur. J’ai le projet du jeu. Je conseille des jeunes dans leur progression. C’est la partie cachée où il faut gérer les ego des uns et des autres pour les ramener au bercail. C’est un gros boulot aussi.

Comment va Mathieu Valbuena ?
Il a reçu un gros choc sur le côté. Il avait déjà été touché contre Evian, c’est pour ça qu’il s’est arrêté. On va voir comment ça évolue d’ici 48 heures mais il sera dans le groupe.

Avez-vous votre mot à dire sur le recrutement ?
Bien sûr que oui. Avec la cellule de recrutement, je fais le choix des joueurs qui me sembleront les plus à même d’être complémentaires de ceux qui sont là mais je ne vais pas choisir un joueur hors de prix. Mais si on garde tout le monde, je suis satisfait, surtout si les blessés reviennent vite.

Que connaissez-vous de votre adversaire de jeudi ?
Roland Gransart est allé voir le match retour. Eskiþehirspor est à la fois une équipe qui a de la maturité et qui est capable de bien conserver le ballon parce qu’elle a du métier. Elle est capable de pousser un peu plus pour arriver à marquer des buts. A domicile, c’est une équipe qui part très fort. Elle va exercer un gros pressing d’entrée de jeu.

Cette Ligue Europa est-elle intéressante ?
Ce tour-là est intéressant parce qu’on est encore dans une phase de préparation. C’est un vrai match de Coupe d’Europe qui nous est proposé. Si on a le mérite de se qualifier, on verra comment on va gérer tout ça mais il ne faut pas se poser de question. Ce tour-là, il faut le réussir.

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HOJBERG

j'aime ces petits détails.

Élie Baup tente d'éradiquer la frustration sur le rectangle vert. Des joueurs comme André Ayew, Jordan Ayew ou Mathieu Valbuena se sont souvent illustrés dans ce domaine. Depuis quelques rencontres, ils ont fait des efforts à la demande de Baup, comme l'a expliqué l'entraîneur marseillais dans l'émission ForOM sur OMTV :

"Il faut s'encourager, s'aider. Même si un partenaire rate une occasion, je l'ai vu au début et je le vois parfois, je veux bannir tout ça, on ne lève pas les bras, on ne se prend pas la tête parce qu'on ne nous a pas donné le ballon, au contraire, il faut encourager le partenaire pour que la fois d'après, il vous donne le ballon. Ce sont ces petits détails qui, dans le quotidien et dans la relation mentale, font qu'on peut construire un groupe".

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Welcome de Zerbi!!!

Esprit commando, ca peut effectivement nous aider à creer une surprise.

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HOJBERG

Ce qui est navrant surtout ce su faille l'expliquer encore à des pro palpant 100K€/ mois surtout!!

Sauf que tu n'as même pas çà pour ceux qui palpent 500, 600K€/mois dans les grands clubs..

Car c'est pas nécessaire surtout!!
Même des têtes de cons à la mode CR7 arrive à applaudir un coéquipier qui mange sa passe c'est pour dire!!

Baup sur rmc apres le flash info chez luis attack

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"unis, nous sommes invincibles" @Bielsa

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Welcome de Zerbi!!!

Pas simple rennes dimanche. Comme souvent ils ont une belle équipe sur le papier

Énorme !!

Des bites les rennais ?

Je commentais l'article, tu as posté dans l'intervalle!

on connait enfin le problème de DD, il faisait de l'ombre aux stars

Mourinho

Des stars à l'OM l'année dernière?! Première nouvelle

De retour de blessure, Loïc Rémy est entré à plusieurs reprises en cours de match. Le buteur marseillais pourrait être amené à retrouver une place de titulaire au sein de l'effectif. Élie Baup et André-Pierre Gignac ont évoqué la situation de l'ancien Niçois.

Loïc Rémy est entré en cours de match, peut-il débuter une rencontre ?

Élie Baup : "On va voir, ça fait partie des questions que je me pose et que je vais essayer de résoudre dans la nuit avec celle du poste de latéral droit."

Il peut jouer avec Gignac ?

E.B. : "On verra plus tard. Pour le moment, il faut mettre les joueurs dans des postes préférentiels, où ils se sentent bien. On ne revient pas d'une absence de compétition de trois mois en jouant à tous les postes. Il faut d'abord le mettre en confiance dans son poste préférentiel."

Tu penses pouvoir jouer avec Loïc Rémy ?

André-Pierre Gignac : "Je prends match après match. Ensuite il y a le choix du coach. Lolo, on connait sa valeur, on sait quel joueur il est, on sait ce qu'il peut nous apporter. Donc ça sera une plus value pour l'équipe. Il peut jouer à droite, dans l'axe, on verra bien !"

Ce qui me fait plaisir avec baup c que tu sens que le gars est heureux d'entrainer a nouveau...

Elie Baup, êtes-vous satisfait de ce match nul (0-0) face au Sheriff Tiraspol en barrages retour de Ligue Europa ?
On voulait se qualifier, on est qualifié. C’est bien. La déception, c’est de ne pas avoir marqué parce qu’on a une équipe et un jeu qui est fait pour aller vers l’avant, marquer des buts. Quand on ne marque pas, non seulement on est insatisfait, mais en plus on s’expose à des dangers face à des équipes comme celle-là qui ne font que défendre.

Cette équipe a plus défendu que ce que vous aviez prévu…
Oui, ils sont restés dans leur idée du premier match (ndlr : victoire 2-1 de Marseille en Moldavie). C’était à nous de ne pas nous désunir, de rester dans l’organisation et surtout, d’utiliser la largeur du terrain parce qu’à l’intérieur du jeu, il n’y avait pas de possibilité de trouver des solutions ou des passes. Il fallait beaucoup utiliser les côtés. On a péché un peu par manque de dédoublement et de qualité dans les centres.

Sans André-Pierre Gignac, ni Mathieu Valbuena mais avec Loïc Rémy et deux jeunes, la composition de l’équipe en a surpris plus d’un…
Vous savez j’ai un groupe. Il y a de la fatigue à gérer. Mathieu Valbuena est le joueur qui a eu le plus de temps de jeu dans notre effectif avec ce match avec l’équipe de France. On avait à gérer un match à venir dimanche (ndlr : 17h00, face à Rennes, 4eme journée de L1). Il fallait gérer les temps de jeu et donner la possibilité à des jeunes d’en avoir un peu plus. Jordan Ayew a fait un match entier, Abdullah Rafi aussi et j’ai donné sa chance à Senah Mango. La difficulté pour moi, c’était de constituer une défense. Il a fallu que Charles Kaboré recule dans l’axe.

Quel était votre plan ?
Je voulais faire sortir cette équipe, qu’elle se livre un peu pour utiliser la vitesse de Loïc Rémy. Utiliser André ou Jordan Ayew, passer par-dessus pour trouver des solutions, dans la mesure où ils avaient joué haut. C’est arrivé deux ou trois fois. Ils se sont un peu décollés de leur 16m50, mais ils ne sont pas beaucoup sortis donc il fallait aussi attendre. Tactiquement, on a fait ce qu’il fallait et on a eu des occasions. On aurait pu marquer.
Le transfert de Barton dépend de celui de Mbia, Mendes pas le groupe dimanche

Mihai Stoichita, l’entraîneur du Sheriff Tiraspol, a comparé votre jeu à celui du Barça…
Il est en forme, c’est bien ! Nous, on essaye juste de récupérer le ballon le plus vite possible quand on le perd.

En faisant jouer Jordan Ayew et Loïc Rémy. Envoyez-vous un signe ?
Moi, je vous ai donné les raisons de la composition de cette équipe : préserver les joueurs qui ont beaucoup joué et donné du temps de jeu aux jeunes. Remettre Loïc Rémy dans la compétition était aussi un objectif. Ça fait trois mois qu’il n’a pas joué. Il n’a fait que des bouts de matchs et il n’y a pas de matchs amicaux comme en début de saison. Pour se lancer, il fallait un match de compétition. Je ne pensais qu’à une chose : nous qualifier. Maintenant, j’ai le souci de savoir ce que je vais faire contre Rennes.

Joey Barton était dans les tribunes. Va-t-il s’engager pour de bon avec l’OM ? Qu’en est-il de Lucas Mendes ?
Joey Barton se plait ici. Il s’est entraîné ce matin, il a couru seul sous la pluie. Il n’était pas dépaysé mais rien n’est fait. Sa venue est liée au départ de Stéphane Mbia (ndlr : le Camerounais a choisi QPR). Lucas Mendes, lui, c’est officiel, il est Marseillais (ndlr : il sera présenté vendredi au centre RLD). Mais il ne sera pas dans le groupe dimanche. Il a une petite contracture puis, il faut bien faire les formalités. Lucas doit aussi digérer le voyage, il n’a pas de repère par rapport à notre championnat. Avec les matchs internationaux, il a deux semaines pour s’adapter.

Y a-t-il des blessés ?
André-Pierre Gignac a reçu une béquille sur le genou, mais j’espère que ça va aller comme pour Morgan Amalfitano qui, lui, a reçu un petit coup à la tête. Rod Fanni sera, je l’espère, rétabli dimanche.

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HOJBERG

Ce mardi 26 juillet 2011, la promenade de Tanger est envahie par une population familiale, soucieuse de balade nocturne culturelle. Abruti par une chaleur étouffante, le peuple va et vient, s'essouffle dans d'interminables allers-retours.

Dans un restaurant longeant la plage, par lequel on accède après avoir franchi un petit pont de bois, coincé sur une table ronde proche de la grande baie vitrée, on détaille Élie Baup, pour une fois, avec un regard plus approfondi. Le temps de son intronisation à l'OM est encore loin. L'heure où il se prendra la tête avec Alou Diarra pour lui demander de participer aux jeux, alors que l'international avance sa réticence, n'est pas d'actualité.

Alors, on l'écoute, avec ses mots détachés, ses phrases calmes, piquantes parfois, teintées, au gré des expressions, d'une légère ironie anglaise. L'homme est détendu, raconte l'entraînement de l'OM, trois heures plus tôt. Entre diverses anecdotes et la dégustation d'un loup péché le matin, enfin le pense-t-on, Baup questionne, s'intéresse sur le fonctionnement de Deschamps, s'amuse en disant que Valbuena jouera alors que son forfait est entériné.

L'homme est ouvert, participe, contemple la tablée, sans s'imposer plus que de raison. Comme un éclair, ressurgit alors cette phrase d'un dirigeant olympien du début du XXIe siècle : "Moi au club, Baup ne sera jamais l'entraîneur." Phrase succincte, sèche, sans profondeur, ni argumentation. Excès de zèle, d'autorité, basée sur on ne sait quelle justification.

Le temps a passé, le souvenir est resté. Il revient avec malice quand, le 5 juillet dernier, Baup descend du petit avion, sur le tarmac miniature de l'aérodrome de Sion. Au premier regard, on entend encore sa réflexion au lendemain du dîner, quelques minutes avant le coup d'envoi du Trophée des champions : "Tu l'as digéré le poisson, toi ? Tu es sûr qu'ils l'avaient pêché le matin ?"

En Suisse, Baup s'avance vers ses nouvelles fonctions. Un journaliste de La Provence lui lance d'emblée : "Et la casquette, alors ? Oubliée ?" Gêné : "Pas encore !"

Venu l'accueillir, José Anigo saute sur l'occasion : "Va falloir t'en trouver une, sinon on ne nous différenciera pas !" Les premiers sourires sont échangés. L'histoire est lancée.

Elle prend le temps de s'installer. À Crans-Montana, Baup observe. Il filtre les textos reçus lui souhaitant la bienvenue. Il jette un coup d'oeil furtif sur tous les apartés, prend le pouls des relations de chacun, veille sur les discussions entre membres du staff et personnes extérieures. Il prend la température.

Et ne reste pas inerte. Le matin du match amical contre Sion, il s'approche de Sy. Les bras croisés, il parle au jeune gardien. Pas besoin d'entendre les mots pour comprendre. "Ibou" se passe la main sur la tête, pleurant déjà sa crête naissante appelée à disparaître au plus tard l'après-midi.La scène devient hilarante quand tous les jeunes, scrutant au loin la discussion, ont le même réflexe : ils se passent la main sur la tête. L'heure est à la tondeuse. Gignac se tord de rires. D'une décision de bon sens, sans autoritarisme déplacé, Baup impose d'emblée sa griffe.Lire l'intégralité de l'article aujourd'hui dans La Provence

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