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En attendant l’éventuelle qualification du PSG à l’occasion de son 32e finale de Coupe de France, mercredi à Brest, il n’y a pour l’heure qu’un seul choc de prévu entre clubs de Ligue 1 lors des 16es de finale. Et une fois encore, c’est pour Marseille, qui recevra en effet Nice au Vélodrome. Une mauvaise habitude.
Ça pourrait évidemment être pire. Après avoir accueilli Reims lors des 32es de finale, Marseille disputera en effet encore à domicile son 16e de finale de Coupe de France face à Nice. Ainsi, en Coupe de la Ligue, si l’OM a bien reçu Toulouse lors de son entrée en lice, ça se complique pour les quarts de finale, avec cette fois, la semaine prochaine, un déplacement à Lyon pour tenter de décrocher une place dans le dernier carré.
Certes, pour ce qui est de la Coupe de la Ligue, la probabilité de tirer Troyes - le dernier représentant de la Ligue 2, en quarts de finale était faible (une chance sur sept), de même que hériter de Troyes, Auxerre ou Tours au tour précédent (une chance sur cinq), mais le club olympien n’a en revanche pas été verni en Coupe de France. Car pour ce qui est des probabilités, on était grosso modo sur du 70% de chances de rencontrer une équipe d’une division inférieure en 32es et encore sur du 55% lors du tour suivant (si le PSG et Saint-Etienne en sont). Il n’y avait d’ailleurs eu que quatre chocs entre équipes de Ligue 1 le week-end dernier et il n’y en aura au maximum deux à la fin du mois...
Marseille, éternel poissard ?
Alors certes, Nice est encore plus malchanceux avec ce déplacement à Marseille après s’être qualifié à Nantes, mais force est de constater que ça devient une mauvaise habitude pour l’OM. En atteste d’ailleurs le tirage au sort de la phase de poules de la Ligue des Champions, les Olympiens, placés dans le deuxième chapeau, héritant d’Arsenal, Dortmund et Naples et pendant que le PSG, lui aussi dans le deuxième chapeau, avait droit à un chapeau sur mesure avec Benfica, Anderlecht et l’Olympiakos. Un PSG que Marseille a d’ailleurs retrouvé à deux reprises l’an dernier lors des Coupes nationales, les deux fois au Parc des Princes. Quand ça ne veut pas…
Le bon côté de tels tirages, c’est que ça évite de se faire éliminer par un club de Ligue 2 (Evian-Thonon en 2011), de National (Quevilly en 2012) ou de CFA2 (Carquefou en 2008)...
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