ForOM

Un avant centre qui inscrit 10 buts en 21 matchs, soit un meilleur ratio que notre meilleur attaquant dont tout le monde loue l'habileté devant les buts, ça me semble pas si mal pour un has been ...

Quoiqu'il en soit ce pseudo débat ne sert qu'à noyer le poisson.

Luis Fabiano, c'était 18M demandés par Seville, et 500 000 euros mensuels de salaire. Le problème, c'est que Luis Fabiano a cessé d'être footballeur professionnel, il se trainait comme une âme en peine sur le terrain, et Seville a été obligé de le brader parce que primo, Luis Fabiano voulait seulement retourner au Brésil, parfait pour un pré-retraité, et deuxio, il terminait son contrat à Seville. Sans compter que son contrat était extrêmement compliqué, son transfert appartenait pour moitié à Seville, pour moitié à une société.

José Anigo s'est récemment rendu au Cameroun. Histoire de rechercher de futurs talents qui pourraient rejoindre Nicolas Nkoulou et Stéphane Mbia. En mal de reconnaissance, le directeur sportif de l'OM se confie.
José Anigo, vous vous êtes récemment rendu au Cameroun. Quelle était la raison de ce voyage ?
Nous avons deux Camerounais dans l’équipe professionnelle de l’OM, dont un qui vient d’arriver (Nicolas Nkoulou). Nicolas est en train de crever l’écran à Marseille et sur le plan européen. Il est en train de montrer que le talent existe au Cameroun. Ça se voit avec les Camerounais qui évoluent à Valenciennes (ndlr : Bong et Aboubakar), Monaco (Salli), Montpellier (Bedimo), etc… On est à la recherche de nouveaux talents. Je suis venu essayer d’en découvrir un ou deux, à l’invitation de Maxime Nana (agent de joueurs).

Avez-vous remarqué quelques talents ?
Il y en a quelques-uns… Un ou deux de manière certaine. Mais ce sont de jeunes joueurs et c’est très compliqué de les sortir du pays avant leur majorité. C’est toute la subtilité qu’il faut avoir. Ne pas les perdre, tout en les laissant dans un contexte qui leur permet de travailler et aussi de connaître un club professionnel comme le nôtre. Nous sommes en train de réfléchir pour trouver la formule, savoir si on ne peut pas les immerger quelques mois en France, revenir ici tout en gardant leur scolarité, tout en ne perdant pas le fil important de la vie. Parce qu’il y a le foot, mais il y a aussi tout ce qui est important à côté pour le joueur.

Quels sont vos critères de détection ?
Chacun a sa manière de faire les choses. Ma manière, c’est de voir et d’observer. C’est comme quand vous voulez aller avec une femme (sourire), soit elle vous plait tout de suite et c’est le coup de foudre, soit elle ne vous plaît jamais. Au bout d’une minute, je tombe sous le charme d’un joueur. Et c’est après, avec l’expérience, que j’arrive à voir s’il me plaît, s’il y a quelque chose qui m’intéresse. Dès que je l’ai repéré, je me focalise un peu sur lui. Je le décortique complètement. Il faut savoir quels sont ses points forts et surtout ses faiblesses. Je l’imagine déjà au côté des gamins de son âge chez nous. Je transpose tout, mais il faut qu’il ait une dominante forte : vitesse, puissance et jeu de tête.

« On n’est pas là pour empiler les joueurs »

Quel profil recherchez-vous ?
Ce que je cherche, c’est du talent. Et le talent peut être derrière, au milieu ou devant. Là, j’ai vu des joueurs partout. On n’a pas une cible précise. On connaissait Nicolas (Nkoulou) et on n’a pas pu le signer quand il était à Monaco. Après, on était à la bagarre avec l’OL. Rien n’était joué et je remercie Maxime Nana, l’agent du joueur, parce que nous travaillons avec les gens sur le court terme et sur le long terme. A titre de comparaison, Nicolas est à l’opposé de Charley Fomen. C’est quelqu’un de mature. C’est quelqu’un de très intelligent et il fait l’unanimité dans le club, de l’intendant jusqu’au président. Lorsque vous avez ce genre de comportement, vous allez faire une grande carrière.

Lors de votre dernier séjour au Cameroun, vous êtes reparti avec Charley Fomen qui ne s’est pas imposé à l’OM. Est-ce un échec ?
Je vous garantis que je ne me suis pas trompé sur le joueur. Je peux me tromper quelques fois sur l’homme. Sur Charley Fomen, le problème, c’est un bon garçon, mais qui était immature. Il s’est retrouvé dans un monde professionnel avec des habitudes qui sont restées celles d’un amateur, auxquelles s’ajoute un comportement d’enfant. Sur le joueur, je continue à penser que je ne me suis pas trompé. Il a fait une année à Dijon et il est monté en Ligue 1. Là, il est à Clermont et il va certainement monter avec cette équipe. Ce n’est pas le fait du hasard. Je sais qu’il a une cote qui est plutôt en phase ascendante en France et je pense même qu’il est observé par des clubs étrangers. On n’a pas tout perdu parce qu’on a quand même 50 % du joueur. Sachez que le garçon appartient à 50% à l’OM et à 50% à Clermont. S’il arrive à acquérir une certaine maturité, il fera une belle carrière. Sinon, ce sera compliqué pour lui.

Est-ce que l’on peut imaginer voir un jour cinq ou six joueurs camerounais dans votre effectif ?
Pourquoi pas ? Tout dépendra de la qualité du ou des joueurs. On n’est pas là pour empiler les joueurs, mais pour faire de la qualité. Quand je vois la sélection camerounaise qui se rajeunit et qui est en train de trouver les joueurs de talents, je me dis que l’avenir, ce sont ces jeunes. Et que ça peut être l’avenir pour l’OM aussi. Quand je vois Aboubakar (Valenciennes), Salli (Monaco), Moukandjo (Nancy) ou d’autres qui vont arriver, c’est enrichissant. C’est là-dedans qu’il faut plonger. A un moment donné, il y a des cycles dans une équipe nationale comme dans une équipe de club. Il y a des cycles de carrière. Il y en a pour qui ça s’arrête, il y en a pour qui ça démarre. Il faut arriver à un moment donné à ne pas se tromper, à laisser pousser les uns pour ne pas les empêcher d’éclore.

« L’image que les gens peuvent avoir de moi, elle est plus négative que positive »

Le Cameroun n’est pas qualifié pour la CAN Orange 2012. C’est une bonne chose pour vous…
Bien sûr que ça nous fait du bien. Mais pour les gens qui aiment le foot comme moi, c’est désastreux de ne pas avoir le Cameroun à la CAN. C’est désastreux parce que c’est une nation forte du football africain et qu’elle ne soit pas à la CAN est une erreur fondamentale. Ça ne doit pas arriver tout le temps. Que le Cameroun n’aille pas à la CAN, il faut remonter très loin (ndlr : 1994). C’est comme si aujourd’hui vous disiez que la France ne va pas au Championnat d’Europe. C’est la même chose et ce serait dramatique pour le football, pour les jeunes. Mais quand on arrive à un échec comme celui-là, il faut dresser un constat. Le constat, c’est peut-être d’arriver avec des jeunes derrière. Des jeunes qui vous donnent un nouvel élan et qui donnent une nouvelle vie à cette équipe nationale.

Est-ce que vous avez l’impression que le travail que vous abattez est reconnu à sa juste valeur ?
Non ! Parce que, voyez-vous, je parlais avec un Camerounais dans l’avion qui ne me connaissait pas et l’image que les gens peuvent avoir de moi, elle est plus négative que positive. Je trouve cela injuste parce que quand on regarde le bilan, quand vous voyez l’équipe qui compose aujourd’hui Marseille, je pourrais vous dire que Mandanda, Valbuena, Kaboré, Loïc Remy, Amalfitano, ce sont des joueurs que j’ai été chercher. Ce sont des joueurs qui ont coûté très peu à l’OM et qui aujourd’hui représentent un actif financier important. Mais ça, les gens ont tendance à l’oublier.

L’OM s’est qualifié pour les 8emes de finale de la Ligue des Champions grâce à un but de Mathieu Valbuena. Ça doit vous faire particulièrement plaisir, non ?
Effectivement, c’est une satisfaction particulière pour moi. C’est un joueur que j’ai découvert dans un tout petit club de National (Libourne) et qui est passé après en Ligue 2. C’est un garçon qui a un talent fou. Ça fait six ans qu’il est à Marseille et il a toujours porté les couleurs de cette équipe avec beaucoup de fierté. Ces derniers temps, ce n’était pas tellement facile pour lui, aussi bien au niveau de l’équipe nationale où il n’avait pas été sélectionné, qu’au niveau du club où il n’était plus tout à fait titulaire. Il a montré sur ce match-là que quand on est en colère, voilà comment on réagit. Il nous a montré la manière intelligente de réagir.

Comment s’est passé votre séjour au Cameroun ?
Ecoutez, je suis un adepte de l’Afrique. J’aime beaucoup l’Afrique en général et je m’y sens bien. Je retrouve une sorte de sérénité qu’on a perdue en France. On est toujours en train de pleurer sur notre sort alors qu’ici en Afrique, la vie est difficile aussi mais les gens gardent le sourire. Ils sont accueillants et agréables. Là je suis venu seul, mais je viens souvent avec mes enfants. Pour ne rien vous cacher, je vais y passer certainement mes vacances de Noël et du Jour de l’an. C’est un endroit où on aime vivre en famille. Je crois que quelque part, je dois avoir une âme africaine qui est enfouie en moi. Quand je viens ici ou dans d’autres pays africains, je me sens comme un poisson dans l’eau.

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HOJBERG

JLM l'africain blanc..............
Qu'il est con je te jure!!

José Anigo, la mauvaise réputation

Il connaît des truands depuis l’école et l’un de ses garçons a fait de la prison. Mais le directeur sportif de l’Olympique de Marseille ne veut plus qu’on le prenne pour l’homme du "milieu".

Ca commence comme dans un polar de Jean-Claude Izzo. Un 4x4 noir s’avance sur les hauteurs de la ville. On le suit dans les traverses étroites et sombres jusqu’à un haut portail surmonté d’une caméra de surveillance. Un berger allemand de taille respectable garde l’entrée. Notre hôte descend de voiture, monte quelques marches puis nous invite à le suivre à l’intérieur. À Marseille, José Anigo est une figure. Il a 50 ans, trente-cinq à l’Olympique de Marseille, où il a joué puis entraîné. Depuis six ans, il est son intouchable directeur sportif. Les présidents défilent, les entraîneurs valsent, lui reste. Inévitablement, les rumeurs pullulent. "Je ne fais rien de mal et je n’ai rien à cacher", assure-t-il en s’enfonçant dans un large canapé en cuir, devant une baie vitrée d’où l’on aperçoit, de jour, le mont Garlaban cher à Pagnol. Une vitre blindée.

La famille Anigo a emménagé dans cette vaste propriété d’Aubagne il y a huit mois. Deux vigiles la surveillent à l’année. Le nom du propriétaire ne serait pas dissuasif pour des cambrioleurs qui ont visité plusieurs maisons de joueurs et dirigeants de l’OM. "Bien sûr que j’ai eu des soucis, mais je ne vais pas le crier sur tous les toits. J’ai grandi ici, donc je sais qu’en étant retiré il vaut mieux se protéger. Je ne suis pas plus à l’abri que les autres." Ça casse le mythe du gangster et c’est justement son but. Faire le portrait de José Anigo semble sensible. Coup de fil matinal de la direction de la communication : "Est-ce que l’article sera complaisant? Il y a eu tellement de choses négatives sur José..." Comme ce portrait de VSD intitulé "Le parrain se rebiffe", contre lequel il a porté plainte pour diffamation quand d’habitude sa femme jette à la poubelle les articles critiques. "Mes enfants m’ont dit : 'Ne laisse pas passer ça. Fais-le pour nous.’ J’ai trop laissé dire, la récréation est finie, justifie-t-il. Je veux me débarrasser des légendes qui me collent à la peau. Je sais qui je suis. J’ai peut-être quelques relations douteuses, mais je ne vais pas tourner le dos à mes amis d’enfance." Anigo est allé à l’école avec Richard Deruda, fiché au grand banditisme, et n’y voit pas le moindre problème. "J’ai aussi des liens avec des avocats, des médecins, mais personne n’en parle. On raconte que l’OM serait sous l’emprise du milieu marseillais, mais vous croyez que dans cette ville il n’y a pas de police? De justice?" "José a grandi dans la rue et eu certaines fréquentations. Mais on peut très bien côtoyer des voyous sans l’être soi-même, estime son ami Renaud Muselier, député (UMP) des Bouches-du- Rhône. L’important est de rester du bon côté de la ligne jaune."
La liste des rumeurs le concernant est interminable

Anigo est un cliché, pur Marseillais avec l’accent, comme Rolland Courbis, ex de l’OM, qui trouve cette formule : "Ici, tu entres dans un hôtel et tu croises un portier, le réceptionniste et un repris de justice. On ne parlera que du troisième. En ce sens, José incarne le contexte méditerranéen comme personne." La liste des rumeurs est interminable. La première: on lui attribue le départ forcé de Jean Fernandez, entraîneur trop peu malléable, en 2006. "On dit qu’il a des relations, mais 'on’ est parfois un con", banalise Christian Cataldo, président des Dodgers, un groupe de supporters, trente-cinq ans de tribune. Anigo a grandi cité Consolat, quartier ouvrier du nord de la ville, qui a basculé depuis dans une violence crue. Son père nettoyait les pétroliers dans le port voisin, sa mère a élevé sept enfants. "On a toujours mangé et rigolé, profité de la mer. Notre famille était pleine d’amour. Ma jeunesse, ce n’est pas Cosette." Mais une immense douleur qu’il évoque à demi-mot, la mort à moto de son frère aîné. José avait 12 ans. Sa foi catholique l’a aidé, l’aide encore aujourd’hui. Trois ans plus tard, il entrait en formation à l’OM, de l’autre côté de Marseille. Un virage décisif vers une idylle de trente-cinq ans entre son club, sa ville et lui.

En mars 2007, son fils Adrien, 28ans, accusé de plusieurs braquages, est jeté en prison. Membre présumé du "gang des bijoutiers", il est libéré en mars 2010 à la suite d’une erreur de procédure. Cet "échec personnel" mine José Anigo, qui voit ses ennemis s’en servir contre lui. "La rue a aspiré mon fils, mais ça ne concerne que la justice. Aujourd’hui, ça intéresse qui de dire qu’il a un magasin de sport, une femme et deux enfants?" Sans innocence, Anigo glisse dans la conversation que Frédéric, son autre fils de 24 ans, est employé dans la police municipale. "Il a entendu des remarques déplaisantes, ses soeurs aussi." On interroge José Anigo sur son casier judiciaire. Ça ne l’amuse pas, même s’il est vierge.
"Marseille est une ville qui mange ses enfants"

Il croit que sa réputation a ralenti sa carrière. D’ailleurs, il a souvent entendu : "Votre profil est intéressant.Mais vous ne quitterez jamais l’OM", alors qu’il rêve d’une nouvelle expérience comme entraîneur. Seule certitude, il ne replongera pas sur le banc de l’OM. "Marseille est une ville qui mange ses enfants. Moi comme les autres. Je suis encore là, mais un peu broyé. L’image qu’on a de moi n’est pas idyllique." En 2006, il a donné l’autorisation à un blogueur local d’utiliser son image pour un livre satirique illustré, Le Petit José, qui jouait à fond la carte des clichés. Toujours prompt à revendiquer sa "marseilletude", Anigo affirme aujourd’hui qu’il ne donnerait plus son accord à un projet de ce genre.

À son âge, il ne veut pas changer, se "travestir", mais voudrait être jugé avec justesse. Le regard des siens l’angoisse. À Noël, la maison sera remplie de rires d’enfants: José Anigo a déjà trois petitsenfants, le quatrième arrive. "Vous direz que nous sommes de jeunes et beaux grands-parents?" s’enquiert son épouse, qui veille encore sur ses deux plus jeunes filles, âgées de 14 et 10 ans. "J’aime être entouré des miens. Il y a le sport, le travail, mais ça ne vaut pas un radis à côté de mon bonheur familial. Rien n’est comparable. C’est ma philosophie." Un jour, sa fille est rentrée bouleversée par un camarade venu à l’école en haillons. Il l’a aidé puis s’est engagé comme parrain de La Voie des elfes, une association venant en aide aux enfants les plus démunis.

Depuis que son conflit avec l’entraîneur Didier Deschamps (qui, en privé, le surnomme "les forces obscures") a éclaté, histoire de réseaux, d’influences et de vision du club, Anigo a repris ses distances. En trois semaines, il a visité le Portugal, l’Espagne, le Cameroun et l’Italie à la recherche des talents de demain. Ce qu’il fait le mieux. Le reste du temps, il goûte la balade au vallon des Auffes, les films en famille. "Mais sûrement pas la trilogie du Parrain", finit-il par rire. Il a promis à Omar Sy qu’il irait voir Intouchables, a écouté Aznavour et retenu son refrain : "Ce que l’homme fait à l’homme/L’animal ne le fait pas." Loin de la légende. Il prend enfin la pose pour le photographe, tire sur le bas de sa chemise pour cacher son ventre. "Gros et voyou, ce ne serait vraiment pas terrible."

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Welcome de Zerbi!!!

si je n'étais pas si triste en ce moment çà me ferait presque rire, bon là çà m'a fait sourire...

Comme quoi il propose pas que des merdes...

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Welcome de Zerbi!!!

Dans le tas, faut bien une réussite de temps en temps.

Sauf qu'à bien y regarder, tes 3 meilleurs joueurs hier....

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Welcome de Zerbi!!!

Indispensables ce JLM, tout le monde le reconnait dans le milieu footballistique, un grand DT...............

Tu places Brandao dans les 3 meilleurs ?

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Welcome de Zerbi!!!

A quelques heures d’affronter l’Inter Milan en huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions ce mercredi, José Anigo a déclaré dans le Parisien son envie d’entraîner un club. « Oui, j’ai envie d’entraîner à nouveau. Ce ne sera pas à l’OM où j’ai fait le tour de la question. Pourquoi ne pas rejoindre un beau projet ? J’ai déjà eu des possibilités à l’extérieur… Mais en 2004 je n’avais pas les réseaux.»

Une révélation pas vraiment surprenante au vu des rapports tendus entre Didier Deschamps, l’entraîneur de Marseille et José Anigo, le directeur sportif, dans l’organigramme phocéen. « J’ai un contrat et des prérogatives de directeur sportif dedans. Historiquement, je n’ai pas de clash avec l’entraîneur. Avec Didier, c’est la première fois que ça m’arrive. Mais il ne faut pas tout mélanger, il y a de la place pour tout le monde dans ce club.»

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du virage s'élévera.......

Quel croqueur sans déconner! Il aurait pu bosser dans le service Public lui trop tranquille.

Sans deconner si t y crois a tes qualites d'entraineur, vas y . Y en a marre de ton put1 de discours. tu squattes depuis 10 ans le club et au final toujours la meme rengaine le mode " je reste pour le bien du club".

Je me fois qu'au final il nous aura dénicher pas mal de pépites. Il est ce qu'il est mais ça on peut pas lui enlever

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J'aurai jamais compris cette haine farouche pour ce mec. Ho il m'aura saoulé pas mal de fois avec des déclarations en bois, c'est evident. Mais bon il aura fait son job dans beaucoup de cas aussi. Je passerai sur le "service public", comme si bernard lacombe au hasard etait 100 fois plus actif qu'anigo.

En fait on en sait rien, que ce soit pour lacombe ou pour anigo. Mais faut se defouler sur la merguez.

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HOJBERG

Non non lacombe n'est pas plus compétent que la merguez, non non!!
C'est une escroquerie ce gars tout simplement. On seit tous pourquoi il est la et faut juste arrêter l'hypocrisie 1mn.

il est là pour entourlouper lyon et bernard lacombe et recupérer nkoulou, pas mal jouer en effet.

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HOJBERG

Et dénicher mandanda, valbuena, kabore...

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