ForOM

Ouais c'est clair. J'ai vraiment l'impression qu'il n'y croit plus !

C'est triste oui, mais personne ne va les plaindre.
Ils sont responsables de ce qu'il leur arrive.
Pas tous évidemment, mais les autres feront l'Euro...

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Gunpla is freedom

Equipe de DD difficilement comprehensible pour moi... En esperant que ca soit les bons choix.

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HOJBERG

Non, c'est clair.

"Ce soir c'est le match de leur vie" disait Brahim Asloum sur le plateau de l'équipe 21, il a raison et je crois que la plupart de ces gars n'ont pas compris à quel point l'issue de cette rencontre risque d'influencer la suite de leur carrière.

Globalement d'accord a Jo_i. Comment peut on vouloir l'elimination de la france ?
En dehors du cadre sportif, c'est l'aspect economique et l'humeur du pays qui se joue : quid de la representation de la france sur la competition planetaire et sur la consommation en france.
En ligne encore avec Jo_I, y en a marre de cet esprit de looser qui transparait en france : l'equipe de france n'en est que le reflet. Toujours a raler (meme si actuellement il y a enfin matiere a le faire), a ne jamais positiver. On est un pays qui ne semble pas empreint d'une grande cohesion, a tirer a boulets rouges sur les autres, a ne jamais tirer du positif de ce qu'il y a en france. l'autoflagellation supreme. Ou est le patriotisme ?

Sur l'EDF, je ne vois pas ce qu'on peut globalement reprocher sur cette equipe contre l'ukraine : avant le premier but, surtout en premiere mi temps, j'ai meme plutot l'impression qu'on gagnait les duels, qu'on essayait de construire, que les joueurs montraient de la volonte. Mais voila j'ai plutot l'impression qu'on ne retient que le resultat et on ressort les rengaines (ce qui est vrai) sur la mentalite des joueurs, etc...Mais des mecs a la mentalite douteuse, comme on dit mais qui ont ete exemplaires sur ce match (y a un bon adversaire qd meme en face) , ils ressortent comment si on les assassine malgre leur volonte de montrer autre chose (depuis au moins 3 matches).
Apres bien sur , tu ne peux pas demander a des joueurs qui n'en ont pas le profil depuis le debut de leur parcours footballistique d'aller au tampon, de repondre au defi physique (un besogneux aurait tacle le joueur ukrainien , ce que n'a pas fait nasri), mais la je pense que c'est une reflexion globale qu'on doit faire sur le foot francais : insister sur la technique, mais accorder une enorme importance sur la capacite de recuperation. C pas l'un ou l'autre, c l'un et l'autre comme l'espagne, l'italie, et surtout l'allemagne.
Qu'on se qualifie ou pas, au plus tard apres la CDM, il faudra bien sur changer.

Le problème c'est que vous voulez gagner ET changer la direction de la FFF et les joueurs.

Mais mettez vous bien une chose en tete que ce sera soit l'un soit l'autre.

Si la france se qualifie, rien ne changera, sinon il y aura un mince espoir de changement.

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"Tudor n’a aucune raison de l’aligner, ça peut être que mauvais pour lui si Payet est bon"
"Anigo: tactiquement il est au dessus de Tudor"

tres mince......

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Welcome de Zerbi!!!

on peut déjà leur reprocher de s´etre contenter du nul pendant une heure.
Trop sur d´eux a croire que le nul suffisai et qu´il ne pouvais pas encaisser

afin degrés moindre, le but encaisse, de ne pas avoir su en mettre un.
Tropsuffisant sur leur niveau et pas assez réactif ensuite.

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Welcome de Zerbi!!!

Jo a dit des choses justes et je comprends ta logique, mais si nous satisfaire de la médiocrité ambiante érigée en dogme c'est positiver alors tu as raison continuons à positiver comme nous le faisons depuis 40 ans, continuons à encenser des mecs suffisants et à passer pour des abrutis arrogants partout dans le monde tout en loupant des virages stratégiques majeurs… Encore une fois il ne faut pas tout confondre, et l'aspect économique du foot est négligeable par rapport à d'autres secteurs d'activité où nous sommes complètement dépassés faute d'anticipation, d'intelligence, d'effort et de courage politique. Par ailleurs, la planète ne se résume pas —encore— à Google, Qatar Aiways et Monsanto, ou alors c'est qu'on est vraiment foutus et qu'on ne l'a pas compris !
Quant à "l'humeur du pays", je crois qu'elle dépend bien plus de ce que chacun a dans son assiette quotidienne pour bouffer, que des résultats de cette escouade mal dégrossie de sales gosses en shorts qui ne sont que le reflet d'une société qui a du mal à s'accepter (là je suis d'accord avec toi)…

Maintenant, tu as raison, on ne retient que le résultat des matches de l'EDF, mais qu'y a-t-il d'étonnant à cela ? As-tu vu un match depuis 8 ans où l'on pouvait retenir la manière (à part p'têt contre l'Espagne ou contre l'Allemagne et encore) ? Bon, ben sans aller jusqu'au lynchage débile malsain et un peu à la mode auquel certains se livrent —là je suis d'accord avec toi et avec d'autres ici— je crois qu'on a quand même le droit d'appeler un chat un chat et de dire que cette équipe est médiocre et qu'elle ne fait rêver personne.

Si elle gagne ce soir, tant mieux, mais j'en doute et je doute malheureusement que ça puisse déboucher sur quoi que ce soit de positif par la suite.

Comme dit plus haut, si qualif, DD peut encore faire des choix de joueurs differents pour le mondial.

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HOJBERG

La qualif n'aura que du négatif sportivement.

Une équipe qui va s'estimer glorieuse de passer un barrage contre...... l'ukraine
Un coach conforté dans ses choix de jeu pourris et ses choix de joueurs ridicules
Une fédération confortée dans ses choix pourris

Ils iront au mondial, se feront péter le fion en 8eme et quart et ils affirmeront avoir rempli les objectifs, comme Blanc et son euro en bois ou il est juste sorti des poules et encore en gagnant qu'un match

Une élimination entrainerait un séisme bienvenu, et pourquoi pas enfin une refonte complète de cette clique grangrainée

Vous êtes surtout bien naïfs de croire qu'une élimination changerait quoi que ce soit...

Ils resteront tous accrochés à leurs postes.
J'ai même entendu qu'il est question que DD reste sélectionneur en cas d'élimination.

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Gunpla is freedom

Naifs, Naifs, si Baup demain ne se qualifie pas en C1 on verra s'il saute pas.

La France éliminée ca aurait a mon avis une grande répercution et au moins un espoir de changement

Si elle se qualifie, ils vont faire les fanfarons, evra et ses branleurs seront a l'euro, se feront éliminer comme des viers et hop reparti pour un tour avec deschamps fier de son parcours

Tout a fait en ligne avec ca mais derriere le tapage mediatique sur les joueurs, si on faisait un bilan constructif de cette equipe depuis 8 ans. Peut etre est elle tout simplement a son niveau. Peut etre que les joueurs qu'on considere comme des brebis galeuses sont meilleures que les autres. Peut etre aussi que le staff ne voit pas les joueurs de facon aussi negative que nous, avec des medias qui ont la faculté a grossir les choses (quoique evra, je l'aurais viré car mauvais en plus d'etre fouteur de m...). Si on faisait objectivement et sereinement le constat, peut etre qu'on arreterait de repondre aux lamentables prestations par du mepris systematique des joueurs, et qu'on commencerait enfin a revolutionner notre foot (fédé, centres de formations, etc...).

Moi ce qui m'horripile au plus haut point, c'est le positionnement classique du francais dans cette posture moralisatrice qui participe a mon sens a l'image d'arrogance des francais. Qu'est ce qu'on se complait a eriger les grands principes, a donner des lecons !!! Sans pragmatisme, sans action (et la je rejoins la position d'incassable sur la fédé a virer).

Maintenant, je pense que tu negliges l'aspect psychologique d'un peuple : une EDF en CDM, c de la representativite dans le monde, c'est de l'enthousiasme qui anime les gens. Et j'ai la faiblesse de penser que ca pourrait etre mieux en france si chaque personne avait davantage d'enthousiasme (pas forcement pour ceux qui c vraiment difficile de bouffer), mais les autres qui, meme privilegies, ou qui s'en sortent bien, continuent a raler a tout bout de champ.
Ds cette posture, j'envie par exemple les anglais qui au dela de leur propre personne ont une fibre patriotique et qui savent faire front avec flegme et avec leur pragmatisme.

C'est pus que clair!!!

C'est pas Le Graet qui va virer, avec toutes les casseroles qu'il a il est toujours là et a toujours plus de pouvoir. Il va faire sauter des fusibles mais lui sera toujours là.

Une coupe du monde c'est aussi une fin de cycle donc il y aura forcément du changement dans l'équipe pour préparer la prochaine.
Je ne souhaite pas qu'on soit en coupe du monde pour les joueurs, je souhaite qu'on y soit pour nous et tout ce que ça représente

Alors là je partage ton point de vue de A à Z !



Écoute tu as peut-être raison, simplement je t'avoue que j'ai du mal à y croire personnellement. Pour autant, oui un peu de patriotisme exempt de toute dérive nationaliste, un peu de fierté sans ostentation ni agressivité, un peu de de confiance d'ouverture d'esprit et de calme ne nous feraient pas de mal, ça je te l'accorde très volontiers, d'autant que nos voisins européens sont bien plus à l'aise que nous dans ce genre d'exercice, qu'il s'agisse de l'Allemagne, de I'Italie, de l'Espagne ou de l'Angleterre. D'un autre côté, c'est sans doute aussi parce que le patriotisme dont ils font preuve et auquel tu fais référence est empreint d'auto-dérision de pragmatisme et de tolérance. Bref, nous avons du boulot, à commencer par le boulot sur nous-mêmes, je suis bien d'accord !

Le pire c'est que j'ai bien peur que vous n'ayez raison…



Tout à fait d'accord.

Scénario 1 : Le happy end

La France a donc deux buts à rattraper. Trois pour se qualifier. Evidemment, tous les joueurs ont préparé ce grand rendez-vous avec une motivation extrême, et attaquent la rencontre avec la bave aux dents. Deschamps, au pied du mur, aligne un 4-4-2 des plus offensifs, avec Benzema et Giroud en pointe. Lors des premières minutes, les Français attaquent comme des morts de faim, et les Ukrainiens se retrouvent acculés dans leur camp. 12e minute, Khacheridi fait faute sur Valbuena. Pénalty. Ribéry se charge de la sentence, et transforme. 1-0. On avait rarement vu une équipe de France si motivée. Peu après la demi-heure, c’est Pogba qui allume une mèche. Le ballon s’écrase sur le poteau, mais Giroud le pousse au fond des filets. 2-0, c’est le score à la pause. DD fout des tartes à ses joueurs à la pause pour leur mettre encore plus la rage. Et ça fonctionne. Dès l’entame de la seconde période, Benzema claque le troisième but, celui de la potentielle qualification. Les Ukrainiens sont déboussolés, mais tentent d’attaquer. Ils se procurent quelques occasions, mais la défense des Bleus, formée de Sakho et Varane, est vigilante. Il reste dix minutes lorsque Ribéry part comme une fusée sur son aile gauche, déborde et centre en retrait pour Benzema, qui inscrit le quatrième but. Le Stade de France est en liesse, Pascal Praud fait une attaque et la soirée se termine dans les larmes de joie des joueurs français, qui brandissent chacun un t-shirt « Merci de nous avoir soutenu, rendez-vous au Brésil ». Et tout le monde vient leur faire des bisous, même Daniel Riolo.

Scénario 2 : Le thriller qui finit bien



90 minutes pour se qualifier. 90 minutes où tout peut arriver. Les Bleus attaquent le match tambours battants, avec la ferme intention de faire la différence rapidement. Il faut marquer vite : c’est la consigne de Didier Deschamps. La première occasion est pourtant ukrainienne, mais Lloris sauve les meubles. Au quart d’heure de jeu, sur un coup franc de Valbuena, Sakho s’élève plus haut que tout le monde et smashe sa tête au fond des filets. Le stade de France explose. Plus qu’un but, et la France aura fait son retard. Le temps passe, les minutes s’écoulent, et ce deuxième but n’arrive pas. Les Ukrainiens mettent le fameux bus devant leur cage, avec une mission : rien ne doit passer. Ca tient, ça tient, mais la France pousse. Deschamps fait entrer Rémy. Joker gagnant. A deux minutes de la fin, l’ancien Marseillais slalome dans la surface et trompe Pyatov. 2-0, les Bleus arrachent la prolongation. Une prolongation déconseillée aux cardiaques. On joue seulement depuis trois minutes lorsque Pogba prend ses responsabilités à 25 mètres. Pan, un missile dans la lunette. 3-0. Merci au revoir ? Bah non. A la 104e minute, sur un corner concédé bêtement par Debuchy, l’Ukraine marque et glace le Stadium of France. A 3-1, c’est bien l’Ukraine qui passe. Les jambes sont lourdes mais il faut repartir de l’avant. Ribéry prend ses coéquipiers sur les épaules, il gueule, il harangue la foule. 118e minute, cafouillage dans la surface ukrainienne, le ballon rebondit sur la main de Benzema, et Matuidi propulse le ballon au fond des filets. C’est l’apothéose, le grand final d’un match fou qui envoie la France au Brésil. Double prime pour tout le monde. Et une cure de trois semaines pour Deschamps à la maison de repos « Le Trèfle Bleu », dans le 17e arrondissement de Paris. Avec interdiction pour lui d’allumer la télé et de lire les journaux.

Scénario 3 : Le thriller qui finit mal

Le sélectionneur national, Didier Deschamps, a été clair : surtout ne pas prendre de but. En effet, pas besoin d’être bon en calcul pour comprendre qu’un but ukrainien serait quasiment éliminatoire pour les Bleus. Du coup, l’entame de match est crispé. Pogba, qui veut mettre tout le monde d’accord, met une grosse semelle à un Ukrainien et récolte un jaune dès le 8e minute. Puis c’est au tour d’Evra de prendre sa biscotte. Peu d’occasions alors que la mi-temps approche. Mais à la 44e minute, Ribéry se rappelle qu’il est en course pour le Ballon d’Or, et invente une passe décisive géniale pour Benzema, qui ouvre le score. La première mi-temps se termine ainsi, avec le plein d’espoirs pour les Bleus. Il faut donc marquer le deuxième lors des 45 dernières minutes. Le jeu des Français est brouillon, et tout bascule lors qu’à la 53e minute, Evra tacle Yarmolenko dans la surface. Pénalty, deuxième jaune pour le capitaine des Bleus et donc expulsion. Pierre Menès descend en courant sur la pelouse pour venir le larguer et faire 8 jongles devant lui. Tout ça ne perturbe pas Yarmolenko, qui transforme. 1-1. C’est fini. Il faudrait un miracle, d’autant que la France est à dix. Mais l’impossible va se produire. Les Bleus, avec un genou et demi à terre, trouvent les ressources pour relever le front, à l’orgueil. Giroud redonne espoir à tout un peuple à 20 minutes du terme. On y croit à nouveau. Le Stade de France devient carrément un chaudron (si si) lorsque Sissoko inscrit le troisième pion, à la 84e minute. 3-1, il faut encore un but. C’est Fort Alamo sur le but ukrainien (Fort Alamenko, du coup), une pression folle. Pyatov sauve l’Ukraine sur une tête de Giroud. Quatre minutes de temps additionnel, les quatre minutes les plus longues. Sur le dernier corner, tout le monde monte, même Lloris. Mais Pyatov capte le cuir, le relance dans les pieds de Zozulya, qui tire du milieu du terrain et marque dans le but vide. 3-2, la France est éliminée. Mais a gagné au moins une chose : des couilles.

Scénario 4 : Le film d’horreur

Les Bleus ont à disposition 90 minutes pour inverser la tendance. Il faut renverser le résultat du match aller. Peu importe comment, il faut s’imposer. Oui, sauf que les joueurs de Didier Deschamps entament la rencontre tête baissée, en oubliant presque qu’il ne faut pas seulement attaquer, mais aussi défendre. Et au bout de huit minutes, la douche froide. Les Ukrainiens se présentent à trois contre deux devant la défense française, et ouvrent le score par une frappe de Zozulya. La France doit désormais en marquer quatre, mais elle y croit encore. Ribéry prendre les choses en main, mais lors d’un déboulé sur l’aile gauche, le joueur de Bayern se tord la cheville et doit quitter la pelouse. Cela semble écrit : ce match doit prendre la tournure typique du match cauchemar. Benzema frappe le poteau extérieur sur un coup de tête, suite à un centre d’Evra. Mais à la pause, le score est toujours de 1-0. Du coup, Deschamps démissionne, et est remplacé par Aimé Jacquet, qui lance aux joueurs : « Vous avez peur ? Bah vous allez perdre les gars ». Effectivement, dès le début de la seconde période, l’Ukraine double la mise. Jacquet fait sortir Evra et Benzema pour faire entrer Liza et Trezeguet. Choix gagnant puisque Trezeguet claque immédiatement une belle reprise de volée dans la lucarne. Mais bon, 2-0 ou 2-1, ça ne change pas grand chose, surtout lorsque Yarmolenko fait tomber Sakho sur les fesses et trompe Barthez (bah quoi ?) d’une frappe croisée. 3-1. L’humiliation est complète. La France n’ira pas au Brésil. Jacquet, lui, y va. Après le match, il est nommé sélectionneur du Cameroun.

Scénario 5 : Le scénario lynchien

On joue la 92e minute de ce France-Ukraine. Les Bleus mènent 3-1. C’est l’Ukraine qui est qualifiée. Mais l’arbitre de la rencontre vient de siffler un pénalty en faveur de la France, pour une main de Rotan dans la surface. C’est l’un des moments les plus dingues de l’histoire du foot français. Un but, et c’est le Brésil. Une erreur, et ce sont deux ans et demi de matches amicaux. Il faut un mental d’acier. C’est Franck Ribéry qui s’approche du ballon, et qui le prend dans ses mains. Le stade de France retient son souffle. Mais tout à coup, Nasri arrive. Il prend les ballons des mains de Ribéry et lui fait le signe « chut » en mettant son doigt sur la bouche. Le public est incrédule. Nasri regarde la foule et est interpellé par deux voix qui proviennent des gradins : « A deux ! A deux ! » lui hurlent Robert Pirès et Thierry Henry. Nasri répond par un hochement de tête. Il prend sa course d’élan et, au moment de frapper, décale le ballon pour Ribéry. Pyatov tombe dans le panneau et plonge, Ribéry déboule et marque d’un plat du pied dans le but vide. Les Ukrainiens prennent d’assaut l’arbitre pour que le péno soit retiré. Mais tout a été fait dans les règles. Tout le monde pète un câble, l’arbitre se prend une droite, puis c’est bagarre générale, avec notamment Luis Suarez qui déboule sur la pelouse juste pour aller mordre Evra. Pluie de cartons rouges, les instances de la FIFA interviennent. Le lendemain, la sanction tombe : les deux nations sont éliminées du Mondial. On repêche donc les trois pays éliminés lors des barrages : la Suède, la Roumanie et l’Islande. C’est fini l’ordre alphabétique qui prime. L’Islande part au Brésil. Fou.

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HOJBERG

DD change l'équipe ? Et ? Moi je suis plutôt d'accord. Quand on voit que la compo précédente se prend 2-0 en Ukraine, c'est logique non ? Il tente de remuer les troupes, de leur foutre un coup de fouet.

Après si on est éliminé ce soir, c'est une tornade. Si on passe... ça va relancer l'EDF et remettre un coup d'enthousiasme de la part des supporters.