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patettik a écrit:
5-1 pour le Barça sur le terrain de l'Espanyol, qui joue pourtant ce derby toujours hyper motivé. Et fait curieux, aucun but de Messi, 2 de Pedro, 1 de Xavi, et 2 de Villa.
Juste pour dire que dans le Nord, ils sont stupides :
Alors que l'Angleterre connaît un épisode neigeux qualifié d'«horrible» par la BBC, la rencontre entre Leicester et Perpignan (16 heures) devrait bien avoir lieu. Même si la température est descendue jusqu'à moins 7° C pendant la nuit, la pelouse de Welford Road est bâchée depuis six jours et protégée du gel par des souffleurs d'air chaud.
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Sympa: Iniesta peut plaire à tout le monde Actualité - Le joueur du FC Barcelone acclamé par l'Espanyol
Ballon d'Or ou pas, l'année 2010 restera l'année Andrés Iniesta. Et comme on garde toujours le meilleur pour la fin, le joueur du FC Barcelone a quitté la pelouse de l'Estadi Cornellà-El Prat sous les applaudissements du public. Une fois de plus ?
Une fois pas comme les autres, surtout. Le Barça se déplaçait en effet chez son rival catalan, le RCD Espanyol de Barcelone, et l'ovation offerte à un joueur de l'autre camp résonne évidemment bien plus fort. L'accueil réservé au lutin blaugrana s'explique par le geste qu'il avait eu en finale de la Coupe du Monde, levant son maillot après avoir inscrit le but vainqueur pour dédicacer celui-ci à Dani Jarque, ami d'enfance et ancien capitaine de l'Espanyol, décédé subitement un an plus tôt. Son t-shirt (offert à l'Espanyol depuis) arborait alors l'inscription "Dani Jarque siempre con nosotros" ("avec nous pour toujours", cf photo), ce qui a bien sûr touché les supporters de l'Espanyol, qui ont décidé de lui renvoyer l'ascenseur avec cette double ovation : une au moment de l'annonce des compositions, puis une autre au moment de sortir (86e). Des pancartes et banderoles à la gloire du rival chéri tapissaient le stade El Prat, notamment un joli "Iniesta siempre con nosotros" en écho au fameux t-shirt (cf photo ci-dessous).
À l'heure du foot-business, des rivalités exacerbées et des morts dans les stades, la fraîcheur apportée par le geste d'Iniesta et celui des aficionados de l'Espanyol est confirmée dans les paroles de Don Andrés après la rencontre : "Je l'ai senti sur le terrain, c'est ce qu'il y a de plus grand, les gens m'ont envoyé des messages... Au-delà de la rivalité, il y a les êtres humains." Son pied droit a fait lever le Monde, son cœur celui des Pericos. Un stade qui l'acclame à son entrée, puis à sa sortie, Iniesta ne pouvait pas rêver mieux pour symboliser une année 2010 dont l'Histoire oubliera qu'elle avait débuté par une série de blessures... et qu'elle s'est terminée par une nouvelle écrasante victoire du Barça (1-5) sur le terrain de son voisin.
Au passage, pour accentuer encore la portée de l'ovation, rappelons que les autres joueurs du Barça ainsi que Pep Guardiola ont été copieusement hués et insultés...
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Dingue... Mourinho : "13 erreurs arbitrales !" Actualité - L'incroyable conférence de presse du Special One
le 20/12/2010 à 08:39
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Dimanche soir à Madrid, quelques minutes seulement après la victoire du Real face au FC Séville (lire ici), une scène surréaliste s'est produite en conférence de presse d'après-match. Jose Mourinho s'est en effet présenté devant les médias avec une feuille blanche sur laquelle étaient écrites 13 présumées erreurs de l'arbitre de la rencontre Clos Gómez. Une feuille blanche que ses dirigeants l'auraient obligé à présenter devant les médias.
Une liste donnée par le club "On m'a donné cette liste de 13 erreurs graves de l'arbitre (cf photo, le détail ci-dessous). Si j'en parle, je sais que je serai suspendu au prochain match. Lors de la dernière conférence de presse, vous (les médias, ndlr) m'aviez demandé si j'étais fatigué de la pression qui règne au Real Madrid. Je ne sens pas de pression particulière quand je fais ce que j'aime. Et j'aime entraîner. Ce dont je suis fatigué, c'est qu'on me donne une liste d'erreurs arbitrales pour que ce soit moi qui assume toute la responsabilité d'attaquer les arbitres et de défendre mon équipe", a ainsi déclaré Mourinho après la rencontre, pointant clairement du doigt Jorge Valdano et Miguel Pardeza, respectivement directeur général et directeur sportif du Real Madrid.
Réunion avec Florentino Pérez Dans la foulée, l'ancien mentor de l'Inter Milan a exigé une réunion urgente avec son employeur, Florentino Pérez : "Bien sûr que je veux demander une réunion urgente avec mon président, avec qui je sais que je peux parler directement et ouvertement. Après six mois au Real Madrid, je pense qu'on peut déjà tirer un premier bilan de mon travail ici. Nous avons le droit d'avoir des différences d'opinions. Moi je veux simplement défendre mon équipe, mais si je prends cette feuille et que je commente chaque erreur arbitrale, c'est moi qui serai sanctionné. Je ne veux pas assumer tout seul cette responsabilité. Nous sommes dans un club avec un organigramme et je veux que tous les gens qui travaillent ici défendent mon équipe, pas seulement moi. Concernant le match, je n'ai rien à commenter. Je sais juste que j'ai la chance d'avoir une équipe d'un autre monde, avec un caractère incroyable", a-t-il ajouté.
Cette fameuse liste des dirigeants du Real a été dévoilée par Canal + Espagne, en voici le contenu :
"1. 9e minute : Faute de Konko sur Di María qui aurait dû être sanctionnée d'un jaune. Erreur. 2. 14e minute : Hors-jeu inexistant d'Özil. Erreur. 3. 20e minute : Hors-jeu inexistant de Benzema. Erreur. 4. 24e minute : Faute de Zokora sur Khedira qui aurait dû être sanctionnée d'un jaune. Erreur. 5. 25e minute : Faute sur Cristiano non sifflée. Erreur. 6. 34e minute : Hors-jeu du FC Séville non sifflé. Erreur. 7. 39e minute : Faute sur Özil non sifflée. Erreur. 8. 43e minute : Hors-jeu de Di María sifflé à tort. Erreur. 9. Une seule minute de temps supplémentaire à la mi-temps. Erreur. 10. 47e minute : Hors-jeu inexistant d'Özil. Erreur. 11. 64e minute : Second carton jaune à Carvalho pour un coup de coude sur Negredo lors d'un duel aérien. Erreur. 12. 69e minute : Penalty d'Escudé sur Granero non sifflé. Erreur. 13. 78e minute : Carton jaune à Özil lors de son remplacement pour avoir gagné du temps, alors que les Sévillans n'ont pas été sanctionnés pour les mêmes faits. Erreur.
Balance des cartons jaunes : Real Madrid (9), FC Séville (3)."
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