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Le Qatar au chevet de l’OL ?

D’après l’hebdomadaire français Le Point, les Qataris songeraient a acheter un second club en Ligue 1 afin de rendre plus équitable la lutte pour le titre avec un club comme le PSG. Lyon qui souffre financièrement et sportivement cette saison ne s’opposerait certainement pas un coup de pouce Qatari ou émirati.
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Le pessimisme il est pas sportif mais financier: ils sont pire que nous, rouge de chez rouge. Et eux ils ont pas fourgué un boulet.
A partir de là, s'ils trouve pas des sous, le sportif coulera.
Au passage, l'ajax leur a sorti une belle épine du pied.

Par contre si vraiment les qatari les reprennent on est mal: y aurait alors deux clubs intouchables et là ce serait la cata.

Des investisseurs du Moyen Orient ?

Dans un entretien samedi au Figaro, Jean-Michel Aulas «espère» l'arrivée d'investisseurs du Moyen-Orient dans l'actionnariat de l'OL, qui a annoncé jeudi une perte de 4,6 millions d'euros au premier semestre. «Je serai mi-mars à Dubaï et à Abu Dhabi pour essayer de concrétiser un certain nombre d'échanges dans ce domaine. Mais il est prématuré de faire des annonces aujourd'hui.»

Vendredi, dans le mensuel Lyon Capitale, "JMA" avait démenti avoir été contacté par les Qataris, majoritaires au capital du Paris-SG, et avait cité, outre Dubaï et à Abu Dhabi, l'Arabie Saoudite comme un autre Etat de la région ayant «les moyens d'investir dans un club européen». «Je fais partie des gens qui s'intéressent à cette partie du monde» ajoutait le président de l'OL.

Sa visite à Abu Dhabi, les 19 et 20 mars, s'inscrit «dans le cadre de l'accord avec Hamdan Al-Kamali», le défenseur central international émirati prêté à l'OL par Al-Whada. «Nous essayons d'attirer des jeunes dans notre centre de formation et, si possible, venant de pays émergents, commente Aulas dans le Figaro. Paris a fait venir des actionnaires de Doha. Nous, nous avons pris le problème à l'envers.»

On peut faire preuve de plus d’indulgence qu’ailleurs, mais on ne peut quand même pas tout pardonner, ni de rien dire. Samedi soir à Nancy, Messieurs, vous nous aviez déjà passablement énervés comme contre Valenciennes, Caen et compagnie. A Nicosie, vous nous avez fâchés au point de vous en vouloir vraiment d’avoir gâché notre plaisir. Ce jeudi matin, les traits sont fripés, le cœur en bouilli. Vous pouvez repasser pour des excuses. Elles sont irrecevables. On vous a déjà souvent pardonné, en disant par exemple que vous étiez toujours présents dans les grands rendez-vous. Quelle prétention ! Vous vous contentez de trop peu. Vous manquez d'exigence. Vous avez intérêt à ne pas manquer votre prochain rendez-vous ! A un moment donné, basta.

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