Citation:
"Je ne lui en veux pas, mais je suis très déçu. Je pourrais beaucoup plus en dire, mais ça, c’est de l’ordre privé et juridique, a-t-il ainsi expliqué avant d’en dire plus. Qu’il relise bien le dernier texto que je lui ai envoyé ! Je voulais l’aider. Je vais vous le lire : «Tu m’as toujours dit, tu vis de la com’, tu meurs de la com’. Tu n’as fait que ça, en direct, masqué,à plusieurs bandes, en manipulant tout le monde à titre personnel et en devenant incontournable à l’OM. Je t’ai toujours protégé, même si quelques fois je n’ai pas été tendre dans certaines situations inexplicables où je me trouvais. Je suis triste pour toi, tu n’as pas 40 ans (le message a été envoyé il y a cinq ans, il en a 44 aujourd’hui). Il se peut que le début de la fin de ta carrière arrive. Tu te fais trop d’inimitiés, tu as oublié que l’OM emporte tout et que tu auras toutes les responsabilités parce que tu as remplacé Robert. Ceci n’est pas un réquisitoire, c’est juste le message d’un homme qui te connaît à juste titre et qui ne pourra pas te défendre comme avant.» Il n’a jamais répondu, ou, peut-être, il n’a rien compris.»
Et Louis Acariès d’enchaîner au sujet des résultats de Vincent Labrune à la présidence de l’OM, l’ancien entraîneur de Brahim Asloum assurant que Robert Louis-Dreyfus ne l’aurait jamais nommé président. "En tant que président, ce n’est pas fameux. Mais au départ, quand je l’ai présenté, il avait vocation à être le patron de la communication. Je l’ai aussi présenté dans ce sens-là aux gens de TF1. Chacun doit rester à sa place. Je pense que si Robert avait encore été de ce monde, il ne l’aurait jamais nommé président. À ce poste, on est sur un siège éjectable. Il serait très triste de voir l’OM comme ça... Mais je ne pense pas que cela se serait passé ainsi s’il était encore là, dans la mesure où je ne crois pas qu’il aurait viré lui-même Pape Diouf. Et, comme je l’ai déjà dit, il n’aurait jamais mis Vincent Labrune président. Sans parler des mauvais génies qui l’entourent."